Librairie Blanche

Tu seras mon couteau

par David Grossman

Crédits & contributions

EAN

Prix TTC

22,30

Sur commande

Titre disponible chez l’éditeur, commande possible sur demande.

Le Vent jaune : «Un témoignage sur la tragédie israélo-arabe superbement écrit, non sous l’angle des politiciens, mais de celui des gens ordinaires qui la vivent. L'œuvre d'un écrivain passionnément honnête, qui ne craint pas de poser de terribles questions. » Nadine Gordimer, New-York Review of Books Voir ci-dessous amour : « Dans quelques livres mythiques comme Le bruit et la fureur de Faulkner, Le tambour de Günter Grass, Cent ans de solitude de Gabriel Garcia Marquez, de grandes visions de l'histoire nous sont racontées de manière nouvelle. Il se pourrait que Voir ci-dessous : Amour soit le digne héritier de cette lignée brève mais impressionnante. » Edmund White, New-York Times Book Review Le Livre de la grammaire intérieure : « Un merveilleux roman initiatique, où se débat un lointain cousin du Petit Chose en quête du paradis sous le mur des Lamentations. Du rire, des larmes, une giboulée de sensations, Grossman ne cesse d’enchanter et d’émouvoir. » André Clavel, L’Événement du Jeudi Le Sourire de l’agneau : « Mêlant la compassion et la sagesse du moraliste à une véritable imagination créatrice, ce livre mérite de toucher le public le plus large possible. » Robert Fisk, Independent Les Exilés de la terre promise : « A chacun de ses livres, David Grossman tente de percer le mur du mépris. A l’heure où les peuples juif et palestinien sont censés “faire la paix”, il fait œuvre salutaire. » Pierre Haski, Libération L’Enfant zigzag : « Ce livre est imprégné d’une tendre, d’une pétillante liberté, et de cette malice vagabonde qui déserte trop souvent notre paysage littéraire. En bref David Grossman nous rend heureux. C’est tout ? C’est tout. » Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur Une femme fuyant l’annonce : « Un livre d’une force et d’une intensité extraordinaires, c’est LE chef-d’œuvre de David Grossman. Flaubert a créé son Emma, Tolstoï son Anna, et à présent Grossman a son Ora – un être pleinement vivant, parfaitement incarné. J’ai dévoré ce long roman dans une sorte de transe fiévreuse. Sidérant, magnifique, inoubliable. » Paul Auster