Giacometti La rue d'un seul/Visite fantôme de l'atelier
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"Il existe dans la médina de Fès une rue si étroite qu'on l'appelle "la rue d'un seul". Elle est la ligne d'entrée du labyrinthe, longue et sombre. En observant les statues de Giacometti, j'ai su qu'elles ont été faites pour traverser cette rue et même s'y croiser sans peine. Il me semble même les avoir rencontrées, alors enfant. Le chien en bronze, si long, si maigre, rasait les murs, comme on dit, avec son horizontalité rigide et interminable, pendant qu'un homme filiforme marchait, la tête dépassant les terrasses, éclairées par une lumière forte." Tahar Ben Jelloun part, dans la rue, retrouver, sur le visage vivant des gens, la vérité des visages sculptés par Giacometti. Un essai libre où l'auteur traduit sa vision intime d'une oeuvre mondialement célébrée.
