LE DINER CHEZ LES FRANÇAIS DE V. GISCARD D'ESTAING
Crédits & contributions
- ÉditeurL'HARMATTAN
- Parution19 septembre 2024
Prix TTC
Sur commande
Titre disponible chez l’éditeur, commande possible sur demande.
Un couple de vieux agriculteurs normands, leur fille et leur beau-fils, jeunes parents et ouvriers à Belfort, reçoivent Anne-Aymone et Valéry Giscard d’Estaing pour le Réveillon du 31 décembre. Le dîner durera sept ans, de 1974 à 1981. Pendant les sept ans du repas, les personnages vieilliront et l’Histoire poursuivra sa marche. Au menu : une soupe de cresson « revisitée », un civet de sanglier, un bar sauce au champagne et pour le dessert, une galette des rois normande. Comme le mandat de Valery Giscard d’Estaing, le repas commencera très bien et finira très mal. « La Compagnie des Animaux du paradis nous plonge dans les plaisirs décalés et burlesques d’un théâtre populaire aussi drôle qu’argumenté. » ARTS-CHIPELS.FR. « (Les comédien.ne.s) font naître un comique ravageur dans leur façon de parodier, sans méchanceté gratuite, les attitudes de la France des années 1970, nourries aux expressions fleuries que les personnages enchaînent à qui mieux mieux (...). Ils incarnent avec brio la naissance de la fracture politique contemporaine entre la France des villes et celle des champs. » SCENEWEB. « La mise en scène de Léo Cohen-Paperman est formidable. » L’ŒIL D’OLIVIER. « Léo Cohen-Paperman s’attaque à Giscard. On se souvient que le monarque républicain à particule aimait descendre de son piédestal pour s’encanailler chez le Français moyen. C’est à ce moment démago qu’on assiste ici. » LE CANARD ENCHAÎNÉ
