Oser pleurer
Les larmes sont le propre de l'homme
Crédits & contributions
- ÉditeurALBIN MICHEL
- Parution31 janvier 2024
Prix TTC
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" Un livre à la fois intellectuellement stiumant et poigant [...] ." La Vie " Un essai magistral qui mêle interrogations philosophiques et interrogations sociétales." Psychologies « Les larmes ne sont pas le seul langage de la perte, du désespoir et du chagrin. Elles sont courageuses, audacieuses car elles nous indiquent que quelque chose doit être changé à quoi il faut consentir. En ce sens elles sont un chemin de liberté bien davantage qu'une voie de résignation. » En interrogeant la signification existentielle des larmes, Guillaume Le Blanc ouvre un champ inédit . Des pleurs solitaires - larmes d'Achille ou de Priam, d'Énée ou d'Antigone, de la sainte Thérèse du Bernin, du marin d'Odessa dans Le Cuirassé Potemkine ... - aux larmes solidaires - celles des « folles de la place de Mai », de Greta Thunberg ou du 11 septembre 2001 - il esquisse une métaphysique des larmes à rebours de la fragilité qu'on leur attribue. Non seulement les larmes nous rendent pleinement humains, mais lorsque celles-ci, solitaires, deviennent solidaires, elles apparaissent comme une force politique. En osant pleurer, on ne fait pas que déplorer, on accuse, on réclame justice : un peuple en larmes est un peuple en armes. " Un essai stimulant ." La Croix Hebdo
