Les carnets du palais noir
par ALVARO Mutis
Traduit de l'espagnol par François Maspero
Crédits & contributions
- ÉditeurGRASSET
- Parution03 juin 2015
- CollectionLittérature étrangère
Prix TTC
Indisponible
Arrêt définitif de commercialisation. Titre non commandable.
En 1957, Álvaro Mutis a dû fuir son pays natal, la Colombie, accusé de détournements de fonds alors qu’il n’était qu’un bouc émissaire. A 39 ans, incarcéré dans la prison de Lecumberri, il a déjà derrière lui une double vie largement remplie, celle d’un bourlingueur et d’un poète reconnu : deux faces complémentaires d’un même personnage qui se retrouveront dans son œuvre romanesque. Si les lettres envoyées en 1959 à Elena Poniatowska depuis la prison sont comme une sorte de journal écrit au jour le jour sur un ton proche de la confidence, Les Carnets du Palais noir, publiés dans Le dernier visage (Grasset, 1991) est un texte longuement élaboré, d’abord en détention, puis retravaillé, ciselé. Certains personnages des aventures de Maqroll le gabier se retrouvent dans ces carnets.
