Ca roule, ma poule
Crédits & contributions
- ÉditeurLGF
- Parution31 mars 2004
- CollectionLittérature
Prix TTC
Indisponible
Arrêt définitif de commercialisation. Titre non commandable.
Je me bats contre les pédants, les cons et les tartuffes, disait Coluche et, sur ce front-là, il était infatigable. La preuve en est, ses sketches par dizaines, ses trois ans d’interventions quotidiennes à la radio, les multiples entretiens dans la presse et autres émissions de télévision, d’où sont tirés ces pensées et ces textes, restés jusqu’ici inédits. Que ce soit sur la politique : Pour avoir une chance d’être Premier ministre faut être ou un gros qui rassure ou un maigre qui fait peur ; la société : Les mecs y font des voitures sans permis, y feraient mieux de faire des voitures sans alcool ! ; ou les rapports entre hommes et femmes : Je suis pour l’amour à trois. Parce que si y en a un qui s’endort, il reste toujours à qui parler. Aujourd’hui encore, Coluche est incomparable. On retrouve intactes, dans ce livre, toute sa générosité, ses colères et sa truculence. -Quand j’étais gamin, j’étais très têtu. Ma mère m’enfermait dans le poulailler pour me punir. Eh ben, j’étais tellement têtu que j’ai jamais rien pondu. -Les cimetières ont augmenté leurs tarifs. Eh oui, le coût de la vie augmente ! -L’intelligence, c’est pas sorcier, il suffit de penser à une connerie et de dire l’inverse. -Avec la retraite, les mecs ont assez de fric pour vivre peinards jusqu’à la fin de leurs jours. Sauf évidemment s’ils veulent acheter quelque chose.
