Vignes nocturnes
par Luc Tironneau
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« Vignes nocturnes » s’inscrit comme la suite temporelle d’« Il ne peut rien rester de moi qui puisse réclamer une larme » en couvrant la période 1988-1999. Il s’agit une fois encore d’une dépense intime. Dès lors que l’on ne s’inscrit pas dans une logique de l’utile, on se situe dans l’espace de la générosité : on doit donner ce que l’on a de plus précieux. « Voici mon cœur » écrivait Verlaine dans « Green », « Voici mon corps » serait plus proche de la nature profondément physique de « Vignes nocturnes » : il s’agit d’une épreuve presque sportive, parfois harassante, et du don du plus intime, du plus propre, en fin de compte d’un don métonymique de soi.
