Le premier festival mondial des arts nègres
par Paul G. Aclinou
Ou la négritude cinquante-cinq ans après
Crédits & contributions
- ÉditeurL'HARMATTAN
- Parution20 juin 2024
- CollectionÉtudes africaines
Prix TTC
Sur commande
Titre disponible chez l’éditeur, commande possible sur demande.
« Nous voici donc dans l’histoire ! » Telle est la proclamation par laquelle Malraux débuta son discours à Dakar en 1966 lors du colloque qui préluda au festival FESMAN 1. Il ajouta : « Ce que nous tentons aujourd’hui ressemble aux premiers conciles... » C’est une réflexion sur les questions qui étaient alors en débat et sur leurs origines. Une réflexion qui cherche à savoir ce que sont devenues, six décennies plus tard, les préconisations de l’époque pour ces problématiques. L’invitation est faite à partir des idées qui prévalaient à l’époque en Afrique Noire, au sein d’une population en effervescence face à l’avenir des nouveaux États qui venaient d’accéder à leur indépendance. Elle se fait également à partir de l’examen rétrospectif de quatre discours qui furent produits à Dakar en 1966. Il s’agit de ceux de Machado, le représentant de l’Unesco ; de Senghor, président du Sénégal ; d’André Malraux, ministre français de la culture et enfin, d’Aimé Césaire, écrivain et homme politique français.
