Pour une éthique du désir et du bonheur ?
par Arno Munster
Un hommage à Robert Misrahi
Crédits & contributions
- ÉditeurL'HARMATTAN
- Parution31 octobre 2024
- CollectionOuverture Philosophique
Prix TTC
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Selon Platon, le bonheur est « la foi la plus haute assignée à l’âme », tandis que pour Aristote, le bonheur est « la recherche du souverain bien vers lequel tend le désir. » Le bonheur est-il une illusion ? Un impératif, une « passion » de l’âme ? Pascal a-t-il raison d’affirmer que « tous les hommes désirent être heureux » ? Mais comment y parvenir ? C’est en marchant dans les pas d’Aristote, de Spinoza et de Sartre que Robert Misrahi (1926-2023) nous esquisse une éthique du bonheur pour la modernité, dans une perspective laïque, à l’entrecroisement de la pensée spinoziste du « Conatus » et de l’existentialisme sartrien, dans le cadre d’une pensée critique émancipée de tous les dogmes théologiques, refusant toutes les formes de servitude et de soumission.
