L'exil comme épreuve littéraire
par Nahâl Khaknégar
L'écrivain iranien face à ses homologues
Crédits & contributions
- ÉditeurL'HARMATTAN
- Parution13 avril 2015
- CollectionL'Iran en transition
Prix TTC
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La question de l'immigration et de l'exil a marqué la fin du XXe siècle. Les oeuvres issues de l'exil évoquaient souvent le souvenir douloureux d'une perte ou d'un vertige identitaire. Aujourd'hui, une nouvelle génération d'écrivains semble avoir pris le relais. En s'appuyant sur deux romans, Le Voyage des bouteilles vides de Kader Abdolah et Les belles choses que porte le ciel de Dinaw Mengestu, l'exilé apparaît comme un être cosmopolite à la croisée de différentes cultures tout en poursuivant son parcours personnel d'intégration. Le roman iranien d'exil invite à mieux comprendre "l'homme", plus particulièrement "l'Iranien".
