Parce que tout passe toujours son temps à être déjà foutu
par Annick Latour
Crédits & contributions
- ÉditeurL'HARMATTAN
- Parution18 février 2021
- CollectionEn scène
Prix TTC
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Générations de femmes : Skarga, cinquante-six ans, se tient devant l’absence de sa mère qui vient de mourir. Il y a aussi la mère sous la plinthe, la grand-mère, fantôme ou voix intérieure. Pour la femme qui reste et pour celle qui a péri en mettant sa fille au monde, la mort s’affronte sans larmes et sans vanité. Peu à peu se tisse un dialogue étrange et pourtant quotidien. Les femmes se racontent par bribes, par à-coups, crient la souffrance du travail, de la guerre, de la maternité, l’absurdité des on-dit et des il-faut. Dehors, les saumons pleuvent, comme si, là-haut, c’était l’océan tout entier qui déversait les pleurs d’un chagrin inhumain.
