Correspondance Alejandra Pizarnik et André Pieyre de Mandiargues
par Mariana Di Ció, André Pieyre de Mandiargues, Alejandra Pizarnik
Paris-Buenos Aires 1961-1972
Crédits & contributions
- ÉditeurYPSILON
- Parution19 septembre 2018
- CollectionLittérature
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La petite centaine de lettres et cartes (quelques poèmes, dessins et photos) d'Alejandra Pizarnik et d'André Pieyre de Mandiargues forment un volume qui regorge de vie et de poésie, de sourires timides et de rires complices. A.P. et A.P.M. s'entendent à merveille, s'aiment et s'admirent, se lisent et se traduisent, c'est une relation d'une réciprocité étonnante, littéraire et intime. Alejandra Pizarnik et André Pieyre de Mandiargues se sont rencontrés à Paris au début des années 1960. Malgré la différence d'âge – Pizarnik n'a même pas vingt cinq ans, alors que Mandiargues frise la cinquantaine – l'affinité esthétique est indéniable. Les premiers échanges témoignent déjà d'un respect mutuel, mais restent plutôt timides: le français de Pizarnik est hésitant, et ils se vouvoient encore lorsqu'elle rentre à Buenos Aires en janvier 1964. Le passage au tutoiement scelle une amitié née et nourrie d'un dialogue littéraire qui se transforme progressivement en véritable complicité intellectuelle.
