Les deux visages du Christianisme. La doctrine chrétienne mise à nu.
par Pascal BONCHAMP
Crédits & contributions
- ÉditeurOVADIA
- Parution30 octobre 2020
- CollectionAu delà des app
Prix TTC
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Le monde chrétien est fracturé. À l’intérieur de chaque confession, de chaque paroisse, de chaque conscience, deux visions de Dieu violemment opposées coexistent. Sur la condition terrestre comme sur l’au-delà, elles s’affrontent constamment à coups de versets bibliques et de citations de théologiens. D'un côté le Dieu qui pardonne même à ses bourreaux, de l'autre celui qui envoie des catastrophes naturelles et encourage les génocides bibliques. D'un côté le Dieu qui accueille tout le monde au paradis, de l'autre celui qui jette à tour de bras dans les flammes du purgatoire ou de l'enfer. En revenant aux sources, ce livre décortique sans concession les doctrines chrétiennes, à la recherche de la vérité profonde de la religion de la Croix. "J’admets que la raison est une petite et faible flamme, une torche vacillante portée par des chancelants dans la nuit sans étoiles - soufflée et avivée par l’orage de la passion - et pourtant c’est la seule lumière. Éteignez cela, et rien ne reste." (Robert Green Ingersoll) Le monde chrétien est fracturé. À l’intérieur de chaque confession, de chaque paroisse, de chaque conscience, deux visions de Dieu violemment opposées coexistent. Sur la condition terrestre comme sur l’au-delà, elles s’affrontent constamment à coups de versets bibliques et de citations de théologiens. D'un côté le Dieu qui pardonne même à ses bourreaux, de l'autre celui qui envoie des catastrophes naturelles et encourage les génocides bibliques. D'un côté le Dieu qui accueille tout le monde au paradis, de l'autre celui qui jette à tour de bras dans les flammes du purgatoire ou de l'enfer. En revenant aux sources, ce livre décortique sans concession les doctrines chrétiennes, à la recherche de la vérité profonde de la religion de la Croix. "J’admets que la raison est une petite et faible flamme, une torche vacillante portée par des chancelants dans la nuit sans étoiles - soufflée et avivée par l’orage de la passion - et pourtant c’est la seule lumière. Éteignez cela, et rien ne reste." (Robert Green Ingersoll)
