Librairie Blanche

Le Cénacle des raisons d'espérer

par Collectif Collectif

Réflexions sur la Franc-maçonnerie

Crédits & contributions

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Le CÉNACLE est un cercle de réflexion maçonnique issu de la tradition humaniste des Cénacles de la Renaissance. Il est composé d’une vingtaine de francs-maçons cooptés. Il a été fondé par Claude Delbos qui a publié de nombreux ouvrages maçonniques. Son actuel président est Maixent Lequain. Le CÉNACLE produit des textes, historiques, littéraires, scientifiques ou d’actualité, ouvrant même par-fois des perspectives d’innovation. Le CÉNACLE publie des « CAHIERS DU CÉNACLE » qui se veulent une réflexion critique sur l’Humanisme et la Franc-maçonnerie contemporaine. Dans ces CAHIERS N°2, intitulés « DES RAISONS D’ESPÉRER », le CÉNACLE nous livre une série d’interrogations sur la Franc-maçon- nerie du XXIème siècle. Claude Delbos dresse ainsi une définition et sa vision de l’avenir de la Franc-maçonnerie. C’est l’Initiation qui fait l’originalité de la Franc-maçonnerie. La méthode maçonnique permet la progression personnelle qui diffuse sur le plan collectif. Ysabeau Tay Botner rappelle ces perspectives. Jean-François Delbos s’interroge sur l’Initiation et la notion de Progrès, sous le double prisme psychologique et cognitif. L’époque est à l’individualisme technologique. Maixent Lequain évoque ces « métamorphoses de Narcisse ». Françoise Bort étudie le secret maçonnique. Aux pourfendeurs actuels de la Franc-maçon-nerie, elle livre une démonstration fouillée qui s’adressent à tous les sceptiques. « DES RAISONS D’ESPÉRER » : Le monde a évidemment changé, il s’est globalisé. La « Concorde universelle » reste un objectif en devenir. Alain de Keghel repense « ce nouveau monde » au défi de l’Universa-lisme, valeur maçonnique cardinale et fondamentale. Enfin, le texte de Charles Susanne achève la présente compilation en s’interrogeant sur l’opportunité d’emprunter de nouvelles voies théoriques, pour une éthique environnementale à introduire au cœur du processus ini-tiatique. Le « Vivant » en majesté, plutôt que l’Homme tout puissant.