Je suis la mort des hommes

Le menu des journées d’Adrien est fait de mots qu’il<br /> happe au hasard des conversations des femmes<br /> accrochées à leur téléphone portable et de Lise en<br /> particulier, une jeune femme qui semble partager le<br /> même handicap que lui.<br /> Sa quête le conduira au pied des fresques des danses<br /> macabres du XVe siècle, de l’Auvergne à l’Italie, vers un<br /> étrange tableau d’une église de l’arrière-pays niçois,<br /> au Bar-sur-Loup, où des petits diables s’agitent sur la<br /> tête des danseurs : LA DANSE MACABRE. Une oeuvre<br /> anonyme où certains visiteurs meurent inexplicablement<br /> à ses pieds. Coïncidence, malédiction ?<br /><br /> Dans ce thriller régional où s’entremêlent un restaurateur<br /> d’art, une journaliste et Adrien-le-bègue, Pierre BROCCHI nous plonge dans l’histoire de ces peintres<br /> « primitifs niçois » du XVe siècle, les frères BREA, qui ont ouvert la porte à la Renaissance et nous confronte aux mystères qui planent encore autour d’eux.