Ma vie d'Edgar

Edgar n’a pas de papa, Isabelle, sa maman « fille mère », doit travailler. D’une famille d’accueil à l'autre, il se retrouve en Savoie, confié à « ton Joss » et « tan Gina ». Edgar n’est pas comme les autres : on dit qu'il lui manque une case. Mais il a de grandes oreilles ! Grâce à elles, il détecte tout, capte les sentiments, perçoit l’amour, la tristesse, l’époque, la vie qui passe. Dominique Fabre nous invite dans sa tête, avec pudeur et douceur. C'est poignant sans être misérabiliste. Et ça déborde d'humour.