LA FIN DE LA SOLITUDE

Liz, Marty et Jules forment une fratrie. Ils sont inséparables jusqu’au jour où ils perdent leurs parents dans un accident. Placés dans le même pensionnat sans âme, ils deviennent vite des étrangers les uns pour les autres, s’enfermant chacun dans une forme de solitude. Jules, le plus solitaire des trois, rencontre Ava, qui devient sa seule amie, son obsession, l’amour de sa vie. Des personnages attachants et une belle histoire sur les liens familiaux, le destin, les douleurs de l’enfance. Benedict Wells, considéré comme le jeune prodige de la littérature Allemande, sonde les tréfonds de l’âme humaine avec une infinie délicatesse dans ce roman qui est surtout une grande histoire d’amour. « Le John Irving que n’a pas écrit Irving » New York Times