Ne rien faire, mais quoi ?
Suivi de Le coup est parti
Crédits & contributions
- ÉditeurPRESSES DU REEL
- Parution06 février 2025
- CollectionRELECTURES
Prix TTC
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Michel Guet a déjà développé dans plusieurs ouvrages (Esclave du bonheur, tous esclaves du bonheur ; L'artisme ; L'infini saturé ; Bétail) une critique sociale protéiforme abordant de façon singulière aussi bien le champ de l'art, l'analyse de l'espace public qu'une réflexion sur l'effondrement du social et du vivant. Ce qu'il nous livre aujourd'hui à travers ce recueil de textes courts, écrits sur plus de vingt années, est une suite de points de repères, des petites étapes si l'on préfère, ponctuant cette trajectoire critique : il y a en effet mille façons de déguiser son journal intellectuel et celui-ci porte en sous-titre Chronique, mais à part le respect d'une certaine chronologie autobiographique, on ne trouvera ici ni vraiment l'un ni sérieusement l'autre. Du confort assuré de la posture artiste à la rigueur de la décroissance, du motif politique au primat de l'espace public, de la Banalyse jusqu'aux vertiges d'une planète en feu, voilà une promenade qui peut conduire chacun d'entre nous, comme l'auteur, à se méfier de ce qu'il aime.
