J’ai cru mourir

Vingt trois heures, maman sonne car elle a beaucoup de mal à respirer, elle est en maison de convalescence après une chimio. l’aide-soignante ne répond pas à cette sonnette. Maman sera retrouvée vers six heures du matin dans un état critique et sera hospitalisée. C’est alors que la machine infernale se met en route. Ce récit est un fait réel plein d’amour, de peine, de révolte. J’évoque les maladresses des soignants qui pourraient être évitées. La fatigue de la famille qui habite loin. Les formalités compliquées, la vie qui s’en va petit à petit, la peur et la tristesse de toute une fratrie.