DON-QUICHOTTE : POUR LES SIECLES DES SIECLES OU LE PAS DU JUSTE

À la face du monde, Don Quichotte, telle une épiphanie, nous parle en ce millénaire dans le relèvement de son esprit, incarné par PlumeCervantes. Don Quichotte relevé par l’esprit de la plume de notre présent, ressuscite la plume créatrice de sa triste figure, endormie depuis plus de cinq siècles, accrochée à un fil de fer par Miguel de Cervantes. La fusion amoureuse de l’esprit plume pour sa créature Quijote n’est autre que celle de la fusion amoureuse de Cervantes pour sa langue, celle de l’alliance des trois monothéismes : le Castillan. De ce relèvement s’en suit un dialogue dans lequel PlumeCervantes et Quijote, veilleront à leur pas ajusté à celui qui enseignait à la synagogue. La scène de leur dialogue n’est autre que le chapitre XXXII partie II, tréteau du testament spirituel de Cervantes ; parole testamentaire qui par l’enchantement quichottesque de la pédagogie diamantaire, s’accomplit sur le chemin christique de la maximité humaine de l’Ecce Homo, pour les siècles.