Librairie Blanche

Wolfgang Amadeo Mozart, « rêver Avec Les Sons »

par Michèle LHOPITEAU-DORFEUILLE

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20,00

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Aujourd'hui épuisée, la première version (publiée en 2011) s'est vendue à plus de 3000 exemplaires. Michèle Lhopiteau-Dorfeuille, musicologue et chef de choeur – inconditionnelle de la musique de Mozart – a décidé de faire abstraction à la fois du film Amadeus et de tout ce qu'elle avait pu lire pendant et depuis ses études au Conservatoire de Bordeaux ; afin d'effectuer un indispensable retour aux sources en s'immergeant dans les sept tomes de la correspondance complète de la famille Mozart, traduite en français par Geneviève Geffray – l'actuelle conservatrice de la bibliothèque du Mozarteum de Salzbourg. Elle a, au fil des mois et des pages, découvert un compositeur beaucoup plus mûr, beaucoup plus drôle, beaucoup plus « moderne », en fait, que l'image – d'« éternel enfant » un peu niais – qui en est trop souvent véhiculée. En citant de nombreux et larges extraits des lettres de Wolfgang et de son père, elle a tenu à mettre le lecteur en prise directe avec les personnages – en s'efforçant de faire le moins possible écran entre eux et lui. Par sa lecture profondément humaine et empathique des relations entre Mozart et les siens, Michèle Lhopiteau-Dorfeuille a su nous faire oublier son long et minutieux travail de recherche et de synthèse pour nous faire comprendre et aimer le personnage qu'elle nous présente sous divers éclairages : sa condition de musicien sous l'Ancien Régime, son « enfance prodige », ses relations avec les femmes, son rapport à la mortâ€- Ses recherches ont même amené l'auteur à comprendre, à sa grande surprise car elle croyait l'affaire depuis longtemps classée, de quoi et pourquoi Mozart – qui n'a jamais été jeté à la fosse commune ! – était mort à presque 36 ansâ€- à un moment de sa vie où son immense talent était enfin reconnu, et où tout lui souriait. Au cours de cette minutieuse enquête, Michèle Lhopiteau-Dorfeuille fit une autre découverte : que les premières notes et le rythme de La Marseillaise – dont seules les paroles sont de Rouget de Lisle – provenaient, en toute connaissance de cause, d'un concerto de Mozart !