Donner un nom aux morts
Sur les traces d'une experte DVI en identification de victimes
Crédits & contributions
- ÉditeurRACINE BE
- Parution04 décembre 2025
Prix TTC
Pas encore paru
Ce titre n’est pas encore paru. Vous pouvez le réserver dès maintenant.
Faire parler les morts pour protéger les vivants, la devise du DVI s’applique au jour le jour. Au cœur des missions de ce service de la police fédérale, l’identification rapide des victimes qui permet à leurs proches de commencer leur travail de deuil. Déterrer une fillette de cinq ans dans la forêt, ramasser des restes humains après un suicide devant un train, chercher des victimes dans les décombres d’un immeuble effondré ou identifier plus d’une centaine de corps après le crash d’un avion en Ukraine, tel est le quotidien de Patricia Vanderlinden, Premier inspecteur principal au Disaster Victim Identification (DVI). Faire parler les morts pour protéger les vivants, la devise du DVI s’applique au jour le jour. Au cœur des missions de ce service de la police fédérale, l’identification rapide des victimes qui permet à leurs proches de commencer leur travail de deuil. Entre le contact avec les familles des victimes pour une première récolte d’informations et l’examen de la victime elle-même, le DVI cherche une série de points de concordance lui permettant de redonner une identité aux morts. Avec l’appui de médecins légistes, d’anthropologues, de dentistes, du CSI et de membres de la protection civile, le DVI œuvre au quotidien, dans l’ombre. La mort est leur métier.
