Prête moi tes parties, petit albinos

« "–Prête-moi tes parties petits albinos car moi-aussi j’ai droit au bonheur, à la richesse, à la longévité, à la popularité et à tout ce que ton corps peut apporter aux mien", dit un homme qui était en train d’enlever un enfant dans un coin de forêt prêt d’une grande ville d’Afrique de l’est. Le pauvre jeune homme a eu trois malheurs dans cette journée maudite : celui d’être né albinos, celui de vivre là où on pense qu’il possède des forces obscures disponibles pour l’élévation dans la société et celui d’être sorti sans protection rapprochée des siens. Le pauvre enfant risque de finir dans un coin de cuisine en attendant que son sort soit scellé. »