Le mythe de l'inconnu

Ce qui est appelé « Histoire » n’a pas jeté de ses matrices que les antagonismes idéologiques et identitaires ayant conduit l’Humanité à d’horribles conflits (Sarajevo, Shoah, Palestine, Rwanda, Birmanie, esclavage...). Surgissements de ces fantômes du passé et troubles de l’époque contemporaine mêlés à des questions philosophico-théologiques intérieures entraînent l’auteur dans une crise existentielle. Aussi, Le Mythe de l'inconnu propose une lecture de l’islamisme terroriste, de l’islamophobie et de la laïcité. En même temps, est introduite une philosophie de la complexité en Afrique Noire où tremble le triangle des identités fermées : panafricanisme dogmatique, dogmatisme religieux et occidentalisme paternaliste.