Librairie Blanche

La conception du bonheur chez aristote

par Leed-Boris Mouang

Essai sur la hiérarchie des biens dans l’Éthique à Nicomaque

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Le bonheur étant le bien suprême, il faut convenir que c’est l’exercice réussi de notre plus haute faculté qui nous rendra parfaitement heureux. Car agir ainsi, c’est non seulement accomplir sa fonction propre, mais aussi agir vertueusement. La conclusion d’Aristote est celle-ci : le Souverain Bien consiste dans une activité raisonnable et vertueuse, « si la fonction d’un homme vertueux est d’accomplir cette tâche (la fonction propre de la nature humaine), et de l’accomplir bien et avec succès (…), dans ces conditions, c’est donc que le bien de l’homme consiste dans une activité de l’âme en accord avec la vertu », ou « selon l’excellence propre de l’homme ». Mais surtout, ajoute Aristote, « au cas de pluralité de vertus, en accord avec la plus excellente et la plus parfaite d’entre elles », qui est la vertu de sagesse (la Sophia).