Oh well that is very unfortunate
par Ismaïl H.
Penser libre, panser noir
Crédits & contributions
- ÉditeurEDILIVRE
- Parution04 janvier 2019
Prix TTC
Indisponible
Arrêt définitif de commercialisation. Titre non commandable.
« Je suis déjà mort quand je respire. » Il m’attrape par le cou et me couche. Je ne sens déjà plus rien. Je suis déjà mort à ce moment-là. Je me souviens comment cela réduisait mon essence à celle d’un liquide blanc putride qu’il fallait m’infliger. Alors j’écris. Poèmes, pensées pour me panser… ? Je suis déjà vivant quand j’écris encore. Quel résumé ? L'histoire d’un homme venant d’une société arabe baignée dans un environnement de tolérance, qui se heurte à la naïveté de ses conceptions. C’est cela même. Triste. Il est à lire ce désespoir. Ce qui est entre vos mains, c’est la beauté laide du souvenir et la fleur qui en germe s’épanouissant au soleil. Oh well that is very unfortunate, une histoire de vie trop lourde à porter. Si vous voulez guérir des blessures profondes, lisez-le.
