Christian Gardair, paysageur d'estuaire paysageur de Paris
par Béatrice Marchal
Crédits & contributions
- ÉditeurHERBE TREMBLE
- Parution18 octobre 2021
- CollectionTRAIT D'UNION
Prix TTC
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Être sans plis. Une belle nappe, dans les hôtels, est sans plis. Comme je suis un type compliqué, j’aimerais bien me simplifier. Sans plis, ni replis. Christian Gardair « Si diverses qu’elles soient, les expériences du peintre Christian Gardair n’en gardent pas moins une unité, celle d’une quête de vérité : « Je vous dois la vérité et je vous la donnerai », écrivait Cézanne. « Pour Christian Gardair qui aime se définir comme un « anonyme du xxe siècle », la vraie peinture c’est « la langue coupée » (Matisse), c’est « le silence », rejoignant le précepte de Wittgenstein : « Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. » Il ne faut pas dénaturer le tableau, qui pose la question de sa présence, d’elle seule ; il est et reste avant tout une ÉNIGME. » Béatrice Marchal
