Le jour où la mort a foutu le camp

Argumentaire : Ça commence comme une satire du monde du travail, ça se poursuit comme un vrai roman fantasy, ça donne à réfléchir au sens qu’on donne à notre vie et à la fragilité de l’existence humaine, c’est plein d’humour et d’émotion, et ça se déguste sans modération. Résumé : Admettons que la Mort, lassée d’une vie de travail à la chaîne, décide de démissionner. Admettons que les services du Paradis, censés être préparés à tout mais efficaces sur pas grand-chose, passent à l’action en organisant un Grand Séminaire Divin, formation interne de deux mois au cours desquels les anges gardiens, anciennement gratte-papiers, devront apprendre les us et coutumes de l’humanité pour devenir de parfaits agents de terrain. Et admettons que se retrouvent mêlés à ce branle-bas de combat : un employé modèle consciencieux, un démon stagiaire, un archange surpuissant en burn-out et le Marchand de Sable en personne. Ça en ferait des histoires à raconter à la pause café !