Les livres ont un visage
par Jérôme Garcin
Crédits & contributions
- ÉditeurMERCURE DE FRAN
- Parution08 janvier 2009
- CollectionBleue
Prix TTC
Manque sans date
Momentanément indisponible, sans date de réassort connue.
Le premier écrivain que, derrière une porte vitrée, il a vu au travail, c'était son père, dont il a raconté la fin précoce et tragique dans La chute de cheval. Depuis, Jérôme Garcin n'en finit pas de s'introduire chez les auteurs qu'il aime et qui lui ouvrent leur maison comme on ouvre un livre, pour quelques confidences et beaucoup de souvenirs. De Vézelay à Saumur, de Thiercelieux à Trouville, du Paris rive droite de François Nourissier au Paris rive gauche de Jean-Jacques Sempé, de la terrasse angevine de Julien Gracq à la lande bretonne de Jean-Marie Gustave Le Clézio, et du jardin londonien de Julian Barnes, où il attend de mystérieuses oies, à un rez-de-chaussée de Francfort-sur-le-Main, où il guette des écureuils en compagnie de Gabrielle Wittkop, Jérôme Garcin poursuit, quinze ans après Littérature vagabonde, son voyage littéraire par mots et par vaux. En avion, en voiture, à pied, et parfois même à cheval.
