Le cinéma de Singapour
par Raphaël Millet
Paradis perdu, doute existentiel crise identitaire et mélancolie contemporaine
Crédits & contributions
- ÉditeurL'HARMATTAN
- Parution01 avril 2004
- CollectionImages Plurielles : Scènes et écrans
Prix TTC
Sur commande
Titre disponible chez l’éditeur, commande possible sur demande.
L'âge d'or du cinéma singapourien des années 1950-1960 est un paradis perdu à découvrir. Singapour fut une des principales plaques tournantes du cinéma asiatique, des années 1940 au début des années 1970. Aujourd'hui, et après de longues années sans aucune production, une génération nouvelle de cinéastes donne de la cité-Etat une nouvelle image. Certains se sont affirmés sur la scène internationale du cinéma d'auteur, d'autres développent un cinéma grand public. Quant aux singapouriens eux-mêmes, il sont restés l'une des populations au monde allant le plus au cinéma.
