Le Camp de la mort lente
Crédits & contributions
- ÉditeurMANUSCRIT
- Parution24 juillet 2006
- CollectionTémoignages de la Shoah (Fondation pour la Mémoire de la Shoah)
Prix TTC
Indisponible
Arrêt définitif de commercialisation. Titre non commandable.
La famille Bernard n'a pas été épargnée par l'occupation allemande : Tristan Bernard, célèbre homme de lettres, arrêté à Nice avec son épouse, n'a été finalement libéré de Drancy qu'à la suite d'interventions d'amis fidèles (Sacha Guitry, Arletty). Son fils, le dramaturge, Jean-Jacques Bernard a subi une terrible captivité dans le camp allemand de Compiègne, où la famine et le froid ont entraîné la mort de dizaines d'internés juifs. Quant à son petit-fils François-René, il n'est pas revenu du camp de Mauthausen où il a été assassiné par les nazis. Jean-Jacques Bernard a été libéré avec quelques autres internés de Compiègne en mars 1942 à l'article de la mort.
