DEMAIN IL SERA TROP TARD

1968. En cette année si particulière, Max enseigne la philosophie dans un lycée breton. Il se trouve face à des élèves pris dans la fièvre des « Événements », qui veulent faire quelque chose de cette révolution… mais quoi ? Curieux, il les observe se débattre entre l’ancien et le nouveau monde, avec leur tempérament, leur histoire personnelle, leurs aspirations. Attentif, il essaie de les accompagner dans ce moment si crucial de leur existence. Et se raconte, les raconte, dans un journal de bord, « Nocturnes en blues », qu’il livre à la postérité, entre musique, littérature et philosophie. 2011. Natacha retrouve ce manuscrit si personnel et se confronte à des souvenirs enfouis, à des émotions tellement fortes. Chargée de faire le tri dans tout ce que Max a laissé, elle va chercher aussi à savoir quelle place il lui réservait à elle, parmi toutes les autres femmes qui ont croisé sa route.