Grandes oreilles et bras cassés
Crédits & contributions
- ÉditeurFUTUROPOLIS
- Parution20 août 2015
- CollectionAlbums
Prix TTC
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Avant de contribuer à libérer la Libye, la France avait aussi aidé Mouammar Kadhafi à espionner son peuple. Quand Jean-Marc Manach a commencé à raconter cette histoire d'espionnage, ça a bien fait marrer, ou plutôt rire jaune : il y est tout de même question de dissidents, journalistes, poètes et blogueurs torturés pour avoir osé écrire des courriels ou des articles. Pour bien faire passer le message, les nervis de Kadhafi ont même été jusqu'à couper les doigts de l'un d'entre eux, avant de le massacrer. Si cela avait été une fiction, cette histoire n'aurait jamais été jugée crédible. Le client : un terroriste, beau-frère du dictateur lybien, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité par la Justice française. L'intermédiaire entre Kadhafi et Sarkozy ? Ziad Takieddine, qui va jusqu'à consigner dans sa comptabilité ses "secret payments". La dir' com' du marchand d'armes ? La fille du ministre de la Défense. Les noms de code des opérations secrètes ? Des noms de bonbons... Pourtant tout est vrai.
