Pourtant la nuit s'ébrèche
par Lorraine Pobel
Crédits & contributions
- ÉditeurJACQUES ANDRE
- Parution15 juin 2012
- CollectionPOESIE XXI
Prix TTC
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Si «tu n’étais qu’un loup fidèle, un poisson sans aile» l’espoir, serait vain or, «îles et archipels» ébrèchent la nuit depuis toujours. Avec autodérision, tendresse, «folies à foison», le poète aborde un sujet d’une éternelle actualité: créer un avenir «non décalqué», émerger d’un passé encore présent. Lui qui a voyagé un certain temps dans sa vie et passé bien des frontières terrestres, interpelle les «Enfants de l’Inachevé» «imagine passer tes propres frontières». Je nous vous ils, cette petite musique en italique rappelle que l’auteur est ton semblable, lecteur, un «sujet éprouvé d’être vif et atterré». Il «sait» qu’il n’est pas un «hareng saur» il a besoin de toi et de chacun «que serais-je sans toi sinon une statue sans feu, un pont hors d’atteinte». Pour info… Hareng, poisson de mer, leurre qui fut employé dans les courses de chiens et à titre perso, pour la petite histoire, délices salés que j’allais parfois voler, conservés dans un tonneau, chez ma grand-mère, comme d’autres enfants mettent les doigts dans les pots de confiture.
