Ceux que la Muse habite
par Jacques Antel
Contrepets fortuits ou involontaires des poètes
Crédits & contributions
- Éditeur1001 NUITS
- Parution02 mars 2005
- CollectionLa Petite Collection
Prix TTC
Manque sans date
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« Votre bonne mine est un Pérou », s'extasie le valet Dubois devant son maître, dans Les Fausses Confidences , sans penser à mal... à moins que la langue du comédien ne fourche, intervertissant le m et p ! La contrepèterie involontaire de Marivaux éclaterait alors aux oreilles de tous. Jacques Antel est l'un de ceux dont l'œil est animé par un démon qui sait débusquer en chaque vers, même parmi les plus académiques et parfaits de la langue française, l'allusion cachée et ruineuse, surgie là contre le gré du poète. Une manière surprenante de relire ses classiques ! Ceux que la Muse habite répertorie, sous forme de dictionnaire, près de 800 contrepets fortuits ou involontaires.
