La Galipe, embarcation légère
par Jacques Lardoux
Crédits & contributions
- ÉditeurPETIT VEHICULE
- Parution01 août 2011
- CollectionRécits nouvelle
Prix TTC
Indisponible
Arrêt définitif de commercialisation. Titre non commandable.
La Galipe était le surnom de la grand-mère maternelle du narrateur. On retrouve le mot « galipe » dans le parler de plusieurs anciennes provinces françaises, en picard, il désignait une embarcation légère. « J’ai lu d’une seule traite La Galipe… avec plaisir, intérêt et émotion. Plusieurs fois, j’ai éclaté de rire. Il y a là une chronique fidèle, scrupuleuse et sensible du temps de l’innocence. « On ne dira jamais assez à quel point l’enfant vit dans les rêves de jeux comme l’adolescent vit dans les rêves d’amours ». C’est foncièrement juste. Les adultes de cette génération ne pourront que retrouver réactivés une multitude de souvenirs. Et ce bonheur insouciant, innocent, est bouleversant si on le compare avec la réalité « hard » que les adolescents doivent aujourd’hui affronter. L’écriture est nette, simple, la narration claire. Ce qui frappe, c’est la relation qui s’approfondit dans la deuxième partie, et je pense que c’est volontaire – le monde de l’enfant, le monde de l’adolescent s’ouvre et s’élargit. Ce qui nous est restitué, c’est le temps du flirt avec l’existence ; ça papillonne et ça butine un peu, mais le miel est à venir… » Lucie Guillevic-Albertini
