Nouvel éloge de la masturbation
par Philipe Brenot
Crédits & contributions
- ÉditeurESPRIT DU TEMPS
- Parution31 août 2013
- CollectionTextes essentiels
Prix TTC
Indisponible
Arrêt définitif de commercialisation. Titre non commandable.
Le contenu de l'ouvrage : "Je l'avoue ici publiquement et comme un acte expiatoire : oui, je me suis masturbé... et à plusieurs reprises !" Cet éloge est à la fois un manifeste contre l'ignorance, les préjugés et les idées reçues mais aussi (parties nouvelles, un ouvrage pour l'épanouissement sexuel destiné en particulier aux femmes : en couverture La Vénus d'Urbin de Titien, en 1538, montre combien l'érotisme féminin n'était pas réprouvé au 16 e s.) La masturbation a été violemment condamnée pendant deux siècles en Occident, de la moitié du XVIII e siècle à la moitié du XX e siècle. Auparavant, rien de tel. Cet acte dit "solitaire" était même encouragé au XVII e siècle par les matrones, les sages-femmes de l'époque, qui pensaient que cela favorisait la fécondité. Rien de tel non plus dans la Bible où le crime d'Onan (onanisme) n'est pas la masturbation mais le coït interrompu. Une grande peur s'est développée à la fin du XVII e siècle en Europe avec les interrogations sur la multitude des spermatozoïdes que l'on venait de découvrir : "Et si, chaque homme contenait en lui toute l'humanité à venir, la masturbation serait alors en quelque sorte un génocide !" - Avec le Glossaire masturbatoire.
