Librairie Blanche

Baudelaire, rêver de Honfleur

par Catherine Delons

Partir pour le bonheur

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EAN

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Réédition d'un essai avec ajout d'illustrations (peintures et photos). Dès le début du XIX e siècle, des touristes, des peintres, des écrivains, se pressaient à Honfleur, séduits par la beauté de ce site pittoresque. En 1855, le général Aupick, beau-père de Charles Baudelaire, achetait, sur la Côte de Grâce, une maison surplombant l’estuaire. Mme Aupick, mère du poète, y vécut ses dernières années. Honfleur incarna, pour Baudelaire, un rêve de bonheur, inlassablement entretenu. La maison maternelle, cette « maison-joujou », ainsi qu’un environnement riche de suggestions poétiques, représentaient un paradis accessible, opposé à Paris, où le poète, souffrant, vivait très mal. Pourquoi Baudelaire ne s’installa-t-il pas, comme il le désirait, définitivement à Honfleur ? Quels sont les liens entre cette ville et l’œuvre du poète ? Les réponses à ces questions s’enrichissent d’une évocation inédite de la vie à Honfleur du temps de Baudelaire, de la perception de Baudelaire et de son œuvre par les Honfleurais au XIX e siècle, et de l’ancrage progressif de son souvenir à Honfleur. Sommaire : 1 La guérite du général Aupick 2 Honfleur, une destination interdite 3 « Là-bas » 4 « Maison-joujou » 5 Baudelaire à Honfleur 6 « La mer, la vaste mer… » 7 Partir pour le bonheur 8 Fin de vie rue du Neubourg 9 Villa Charles-Baudelaire 10 L’enracinement du souvenir 2.15.0.0