Ma mère voulait

Ma mère voulait met en lumière la mère qui, toute sa vie, a attendu que sa fille écrive sur elle. Dès l’enfance, cette femme n’a pas bien compris la vie : vindicative, entêtée, jamais au bon endroit et victime collatérale de la grande Histoire. C’est en 2011 que Laurence Sendrowicz commence à s’interroger sur la transmission de l’indicible. À travers deux autres pièces de théâtre ( "Les cerises au kirsch" et "Faute d'impression") elle essaie de traduire son héritage familial en mots. Il s’agit là de questionner sa génération et celles qui suivront sur le sens de la petite histoire prise dans la grande Histoire.