SHEILA... AUSSI LONGTEMPS QUE JE VIVRAI

À chaque disque correspond une époque, un souvenir, un bon moment. Mais qui est vraiment Sheila, la « poupée de porcelaine » au « tempérament de feu » ? La réponse n’est pas sans équivoque. Comme toute idole, elle dépend furieusement du regard qu’on lui porte. Et quand on l’aime, comme René, on l’aime sans condition aucune : on connaît même ses petits défauts, on les pardonne, on apprend à les aimer, pour continuer à chanter : « l’école est finie ! » ou « laisse les gondoles à Venise ». Sheila... aussi longtemps que je vivrai, c’est la rencontre d’un fan et d’une star sur l’air d’un « reviens, je t’aime ».