Les dangers du « on-dit » et autres réflexions
par Gisela Pankow
Abord analytique de la parole de l’autre
Crédits & contributions
- ÉditeurCAMPAGNE PREM
- Parution06 septembre 2006
- CollectionUn parcours
Prix TTC
Indisponible
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Montrer les fissures, les vides, les craquements de l’existence et de la vie quotidienne par l’étude d’œuvres littéraires, tel est le projet, réussi, de Gisela Pankow dans son ultime livre. La littérature contemporaine est une mine féconde pour décrire et comprendre les forces qui violentent le psychisme. Dans un précédent recueil, L’Homme et son espace vécu (1986), Gisela Pankow précisait ainsi son propos : « Mon travail ne concerne pas le métabolisme de l’avoir dans la littérature ; je voudrais prendre la parole du poète à la lettre pour la référer à un état d’être. » Cette psychanalyste met au jour dans les personnages, comme elle le pratiquait dans sa clinique, les failles dans la structure familiale et dans l’image du corps de l’être souffrant.
