Les dimanches à Verdaine - haikus, senryûs et autres petits riens

Jo(sette) Pellet vit à Grandvaux (Suisse). Intervenante psychosociale et animatrice d’ateliers d’écriture, pratique zazen et autres disciplines depuis une vingtaine d’années et le haïku depuis cinq ans, mais se considère comme une débutante (Zen mind, beginner’s mind). Auteure d’un précédent recueil de haïkus (la ballade du grillon, éd. Samizdat, 2009) et de nombreux haïkus, tankas et haïbuns publiés dans différents ouvrages collectifs, revues et anthologies, corédactrice de Les femmes et la Mob (éd. Zoé). L’écriture est sa plus vieille amie. Dominique de Mestral, anglo-irlandaise et suisse, vit à Cossonay. Elle a fait les Beaux-Arts, travaillé comme graphiste et illustré de nombreux livres. Elle se dédie aujourd’hui à la peinture et chérit l’harmonie et la beauté, ainsi que chiens et chevaux. « … Les dimanches à Verdaine sont conçus pour faire et refaire l’expérience de la présence à ce qui émerge dans l’instant et s’y établir. Ils sont des espaces contemplatifs, contenants et porteurs, agencés comme des balises en cours d’année, des rappels. » Christine Küpfer Warrand Enseigne la méditation zen à Genève « L’auteure a la chance de pratiquer zazen et le haïku, elle évoque la pratique du zen à travers ses haïkus. Voici une belle occasion pour nous, lecteurs, d’entrevoir chacun de ces arts. » Jean Antonini Dirige la revue de haïku Gong En lisant Josette Pellet, on se rend compte de manière très forte que le haïku va chercher ces instants impalpables qui nous traversent dans la pleine conscience de ce qui est. Le lecteur revisite ces instants captés et se les réapproprie, en quelque sorte. Il n’a pas d’autre choix que de se laisser gagner par le silence. Chaque haïku de Josette Pellet est un petit miracle de l’observation neutre qui apporte sa propre réponse au-delà des mots, et parfois même audelà du vécu.