Hannah Arendt
par François De Smet
ou le mal comme absence de pensée
Crédits & contributions
- ÉditeurMIDIS POESIE
- Parution26 juillet 2021
Prix TTC
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Qu’est-ce qui est là ? Tapis juste là ? À l’endroit où cela démange. Où cela confronte. Où cela n’est plus tout à fait respirable. Où le danger nous guette. C’est dans ce lieu rempli d’ombres et de bourreaux que François de Smet faufile ses mots. Il déplie une pensée, convoque Hannah Arendt, et affronte les méandres de nos compréhensions. Il s’agit de regarder, une fois encore, ce que cela implique de ne pas devenir somnambule. Faire face au monde. En être témoin. Ne jamais avoir fini de le dire, de le décrire, de le questionner. « C’est ainsi que les résistants ou les justes répondent en général qu’ils « ne pouvaient faire autrement » lorsqu’on leur demande la raison de leur geste » écrit l’auteur. C’est ainsi qu’il ne peut faire autrement que penser et écrire pour ne pas nous laisser sombrer. — Marie Robert
