Les écrivains pieds-noirs face à la guerre d'Algérie (1954-1962). Albert Camus, Jean Brune, Roger Cu
par Wolf Albes
Crédits & contributions
- ÉditeurATLANTIS ALLEMA
- Parution17 janvier 2012
- CollectionFrance-Algérie
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En dépit de leurs œuvres prestigieuses, les écrivains français d’Algérie sont restés plus ou moins dans l’ombre du « maître de l’Algérie » Albert Camus, dont l’œuvre fut couronnée par le prix Nobel en 1957. Comment ont-ils réagi face au drame de leur pays entre 1954 et 1962 ? Emmanuel Roblès, Roger Curel, Jean Pélégri ou Jules Roy choisirent de soutenir plus ou moins ouvertement les nationalistes algériens. Savaient-ils seulement ce qu’ils faisaient et quel avenir ils cautionnaient ? D’autres comme Jean Brune, André Rosfelder ou Janine Montupet se sont battus pour sauvegarder à tout prix le pays de leur enfance. Marcel Moussy et Robert Merle ont pris des positions bien surprenantes… Quant à Albert Camus, il prouva avec "Le Premier Homme", paru de façon posthume en 1994, qu’il avait depuis longtemps déjà rejoint les siens dans leur dernier combat.
