Tribulations d'une légation suisse en Chine
par Antoinette Moser
Henri de Torrenté, un diplomate suisse au miroir de son journal
Crédits & contributions
- ÉditeurUNIV EUROPEENNE
- Parution20 août 2010
Prix TTC
Sur commande
Titre disponible chez l’éditeur, commande possible sur demande.
"C'est une expérience extroardinaire et tout à fait unique, parce que c'est très rare qu'on soit amené à ouvrir une légation et la fermer et ne pas la quitter", comme le témoigne l'ancien attaché de légation, M. Jean-Pierre Jéquier. Un diplomate suisse, Henri de Torrenté, part à l'aventure pour la Chine. Sa mission: mettre en place la première légation de Suisse à Nankin, alors capitale de la Chine nationaliste sous Tchang Kai-chek. On est en plein contexte de guerre froide entre l'U.R.S.S et les Etats-Unis qui s'affrontent en Chine à travers les nationalistes et les communistes. Malgré le contact rude avec le monde chinois, Henri de Torrenté, nommé ministre plénipotentiaire dans ce pays en 1946, mise sur la Chine comme puissance à moyen et à long terme. Ce travail est basé sur un journal - retranscrit ici - et sur deux correspondances laissés par le diplomate suisse.
