Ordin'Air

Comment résumer des poèmes ? Le décor change sans cesse. Rien ne se prépare, tout est dans la raison du cœur. Alors, on suit un nuage, on devient oiseau, on finit par s’asseoir sur un banc, on caresse un chat, on pleure une absence et puis on aime… On aime la vie jusqu’à sa plus douce simplicité. Le banal, le chaque-jour, c’est cette fenêtre qu’on ouvre et qui laisse un petit vent coulis dénuder le monde vers d’autres mondes. Tout est permis, les mots sont libres. Alors, l’âme se met à battre comme à son ordin’air ! Parfois, on s’envole ….