Sanglots pour Loango
Crédits & contributions
- ÉditeurRENAISSANCE AFR
- Parution01 juillet 2019
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« Ce soir, ou demain, ils dormiront au fond d'une cale puante de navire, infestée de cafards et de rats qui feront bombance de leurs chairs rôties sous le soleil et la longue marche. Seul un garde chiourme s'en rit. Segmenté en petites pièces de vers, toutes de grâce exquise, le chant de Florent Sogni Zaou est un long sanglot qui monte du cur d'un artiste au talent composé de facilité instinctive. On ne se lasse pas de la fraîcheur languide d'une pièce de vers comme celle-ci qui atteste le beau talent de cet artiste « Loango, je me souviens, ma mère me l'a dit, Loango, je me souviens, Loango c'était autrefois citadelle de la grâce et du sourire. À présent Loango est morte ». À s'en souvenir, le poète en a le cur gros, et il pleure. Et son émotion est contagieuse ».
